L’affaire est entendue : les marques écologiques maîtrisent désormais leur communication responsable sur les réseaux sociaux : tout le monde possède sa page Facebook pour communiquer sur ses éco-produits ou ses produits bio. A l’heure d’un Internet omniprésent évoluant en permanence, est-ce aussi simple pour une communication digitale digne de ce nom ? L’arbre ne cache t-il pas la forêt ?
Voici un article écrit à deux plumes avec Alexandre Pasche de l’agence Ecoandco pour Décisions Durables n°20 de octobre 2014, le magazine de référence du développement durable.
Communication digitale, évitez les erreurs
L’idée est de donner 5 recettes clés sur les erreurs fondamentales à éviter lorsqu’une société verte ou une collectivité responsable se lance dans la communication digitale. L’article ne prétend pas aborder tous les aspects mais donne les clés, les fondamentaux pour un démarrage réussi ou des corrections salutaires. Voici la recette n°1 :
Se précipiter en oubliant le B-A BA d’une bonne communication : énervé par le jargon des geeks (experts en technique informatique), humilié par votre fille de 12 ans qui s’étonne que vous ignoriez Pinterest ou Snapchat, vous avez procrastiné pendant des mois. Maintenant, la décision est prise: vous vous lancez dans la communication 2.0, vous vous immergez dans les médias sociaux !
Malheureusement, vous omettez de faire les vérifications essentielles:
⟫ Ma marque est-elle identifiable ?
⟫ Mon offre est-elle explicite ?
⟫ Mes produits sont-ils uniques ?
⟫ Ai-je une promesse forte ?
⟫ Mon site Internet est-il à jour ? Celui-ci est la pièce maitresse, le hub central de votre communication digitale. Les modes graphiques et les technologies évoluant très vite, il est recommandé de le changer au moins tous les 5 ans.
Conclusion : aller sur les réseaux sociaux est avant tout l’occasion de vérifier si votre marque, vos produits et vos messages sont convaincants, en revisitant vos fondamentaux.
L’article étant uniquement disponible sur l’App Store (pour Ipad), voici pour nos lecteurs une version PDF intégrale à télécharger
Conseils bons et simples.
Il est essentiel, en effet, d’écouter la demande du client, car elle permet d’identifier directement les points faibles de certains éco-produits.
Pour nous, ce fut la hauteur des bonnets des draps en chanvre, qui était légèrement trop petite. Nous avons tout revu suite à la demande client, mettant l’accent sur les nouveaux formats de matelas. Notre atelier de Bellegarde dans l’Ain, a tout de suite rectifié le tir avec de nouvelles dimensions. Encore faut-il que le client en parle et se manifeste.. ce qui pose la question des enquêtes de satisfaction. Un sujet de nouvel article peut-être ?